Du pratique, de l'indispensable ou simplement du joli superficiel pour adultes et enfants. Et puis des bricolages et confections "fait main" qui attendent maintenant qu'on les fasse vivre…
On l’attendait, Julie et Guillaume l’ont fait, la petite Cerise est née ! Elle vient enfin agrandir la famille, commence la (longue ?) lignée des cousins-cousines et viendra bientôt, elle-aussi, mettre son nez et son bazar chez des grands-parents maintenant parés à ce genre de situation. Voici donc son premier bavoir, bordé de cerises, il va de soi. Mais comme le rapprochement est facile, je lui en prépare également un avec des fraises, que les biberons lui semblent avoir des goûts différents.
Rentrée rime aussi avec rhumes qui font couler le nez, vaccinations et suivi de santé. Pour ne pas y laisser le moral, on custom’ les carnets avec tissu, fil de scoubidou, toile cirée, peinture, fleurs en feutre et perles colorées. Même chez le docteur, on peut crâner !
… quand il fait si beau, le week-end, mais d’autre travaille dur avec du matériel 100% récup’. Une table en bois chinée, une étrange mais néanmoins charmante assiette ciselée, de la peinture blanche et la magie opère entre les doigts de Joël. Des dizaines de papillons, avant de s’envoler vers d’autres horizons, ont laissé l’empreinte de leur passage sur le bois poli de la table. Petit bureau pour rêver, table d’appoint pour papillonner ou tout simplement oeuvre d’art à regarder les jours de cafard. Bonne nouvelle : elle est même en vente là !
La fée des tartes, apparemment, trouve les toiles à cuisiner à son goût pour mélanger farine, oeufs, sucre et beurre et dérouler sur ce plan bien pratique la boule ainsi faite. A peine la première commande partie pour la maison de campagne, en voici déjà une autre, plus citadine, pour cuisiner et recevoir en ville. Quand la tarte devient chic…
Promis, juré, aujourd’hui, j’ai sorti la machine à coudre de son carton ! Au programme, nouvelle toile à cuisiner, doudou carotte et petit bavoir bordé de cerises. Oui, mais voilà, rien n’a pu aboutir car c’était jour de rentrée pour Léandre et Eneki qui, lui, a également fêté ses 3 ans ce jeudi. Alors nous avons soufflé les bougies, ouvert le cadeau et profité de la soirée pour discuter de la journée passée et de celle à venir. Encore de bons souvenirs… mais promis, juré, demain, je m’y remets !
Fini, l’été ? Premier septembre. Demain, rentrée des classes. Premiers froids légers le matin, fin des cornets glacés l’après-midi… Mais presque pas de nostalgie, de nouveaux projets, des envies de nouveau et de beau, de custom’ et de récup’ à gogo. Alors go go go ! On se motive, on se stimule, on pense avec bonheur aux pulls fins qu’on va pouvoir ressortir et réinvestir, aux manches des gros pulls qui vont devenir de jolis sacs à main, aux doudous moelleux qu’on va pouvoir fabriquer pour les bébés de la rentrée et aux gâteaux fondants au chocolat qui vont très bien remplacer les cornets !
C’est la fin de l’été mais encore les vacances et ce n’est toujours pas évident de bricoler avec les enfants. J’attends avec impatience leur collaboration future (?) pour créer des accessoires et faire de la petite couture ! En attendant, je prends quelques boutons, des perles, du fil de pêche et je bricole des boucles pour fermer ce mois d’août en douceur. Je pense surtout à Linda qui excelle en matière de bijoux d’oreilles mais ne le montre pas… Peut-être un jour sur le blog de la Belette ?
Aujourd’hui, création de Léandre qui s’est exercé tout l’été à réaliser des vaisseaux avec feutres, scotch et ciseaux. Il fallait ensuite les coller sur les portes vitrées de la maison, de préférence propres, pour créer l’illusion. Et voilà une fusée qui décolle depuis le pré de la Bonnette jusqu’au ciel bleu du Crozet. Quel trajet !
Un des petits plaisirs de l’été a été, justement, de mettre à ma fille les robes retro et chapeau rigolo que je portais quand j’étais petite… Ce qui ne me rend pas nostalgique, bien au contraire, j’adore ces trocs entre mères et filles. Après tout, j’ai bien porté la robe de mariée de ma mère cet été !
Puisque mariage il y a eu, robe de mariée il fallait. Pas de « vraie de vraie » ni de robe qui fait exploser le budget mais quatre robes dans le vent, pour affronter le week-end avec gaité et surprendre mes invités. J’ai d’abord craqué pour deux robes chinées à Emmaüs, à un prix vraiment dérisoire. Avec l’aide de madame ma mère, nous avons passé quelques heures à customiser, border de biais, coudre de sequins argentés. Que de bons moments passés à papoter… J’ai également récupéré la robe de mariée de maman, déjà pas très conventionnelle à l’époque, et qui avait poussé la porte d’une boutique mexicaine boulevard Barbès pour acheter la sienne. Une amie, enfin, ne connaissant pourtant pas nos projets, a fini par me proposer la sienne. Et voilà, j’avais mes quatre robes, à enfiler au cours du week-end. Concept de mariage très récup’. Mais reste l’éternel problème : où vais-je les ranger ?