Radis et peut-être carottes…
Don Quichotte du Trocadéro
Radis donc !
Banlieue mon amour
La banlieue est toujours très loin pour le Parisien qui, lui, ne sait pas une fois sur deux que le RER roule dans les deux sens. Le banlieusard, lui, vient travailler à Paris cinq jours sur sept malgré les pannes de trains, les grèves du personnel et autres petits plaisirs quotidiens. C’est souvent galère, misère et tracas divers. Mais quand le week-end arrive, la banlieue revêt pourtant des atouts certains. Campagne en été, pistes de luge en hiver, elle est le lieu de plaisirs faciles et sains. Que la banlieue est belle, que la banlieue est loin…
Petits pois
Le petit oiseau va sortir…
Attention, le petit oiseau va sortir ! On aurait tort, pourtant, de sortir d’une si jolie cage, décorée d’une pierre à facettes et d’une perle de rocaille colorée. Et puis, montée sur une chaîne, la cage devient collier et le petit oiseau le passager des nombreuses balades qu’offre le cou d’une jeune femme. Pas sûr que le volatile chante son ravissement mais n’en demandons pas trop quand même ! Avis aux amatrices de colliers, de cages presque dorées ou d’oiseau sage comme une image, les colliers sont en vente en boutique.
Quelques branches sur ma théière blanche
C’est l’histoire d’une théière chic mais sage, blanche évidemment, from Limoges assurément. Miss P. me l’a offerte suite à nos longues discussions, assises devant deux tasses de thé. Il a fallu que je me lève plusieurs fois pour remplir à nouveau ma petite théière en fonte, plutôt destinée à ma pause thé quand je suis seule. Le grand format me permettra de poursuivre la conversation tout en buvant mon thé brûlant. Toutefois, Belette touch oblige, je n’ai pas pu m’empêcher de customiser légèrement cette jolie théière blanche avec un oiseau et quelques branches. Je suis certaine que ce sera l’objet de nouvelles discussions quand on boira le thé ensemble !
Punky Brewster
Vous souvenez-vous de cette gamine délurée à la garde-robe déjantée ? Couleurs, motifs, superpositions… Bref, il me semble que j’en ai un exemplaire à la maison. Toujours est-il que, freinée dans ma couture années 60 faute de savoir-coudre, j’ai utilisé un coupon de mon tissu pour fabriquer une jupette à ma jolie poupée. Essai concluant ! Quant au choix des tissus, oui, je sais, j’y suis pour quelque chose dans les goûts vestimentaires de Miss A…