Des mini-Suédois chez moi

Nos travaux finissent toujours par un passage chez Ikea… Et j’avoue, je suis toujours motivée par la multitude de bricoles que l’on trouve après le mobilier : vaisselle, bougies, trucs et bidules… Cette fois, j’avais repéré dans une de mes revues ce petit ensemble destiné à meubler les maisons de poupées. Ikea a effectivement décliné ses best-sellers en modèles réduits : canapé Klippan, étagères Expedit, table basse Lack, etc. Dans une jolie boîte qui permet de recréer un décor, ces six pièces sont très design et colorées. Ma fille a été le prétexte idéal pour les acheter, même si Monsieur n’a pas été dupe une seconde quand il m’a vue déballer frénétiquement les petits meubles pour recréer des mises en scène toute la soirée…

Attention, travaux !

La Belette repeint les volets, Monsieur finit la terrasse, il faudra aussi ranger la chambre des enfants en faisant disparaître discrètement quelques jouets, s’occuper du jardin, poncer et repeindre deux-trois meubles… Bref, la liste est longue avant la reprise du travail lundi. Heureusement, quelques revues déco, une boîte de bons cookies et la musique nous motivent ! Reprise des bricoles de la Belette dans quelques jours, j’espère.

Ambiance

La maison que nous louons cet été encore s’est arrêtée dans le temps il y a quelques années déjà. Mobilier, vaisselle, décoration, papiers peints et détails du quotidien, tout semble dater d’un étrange mélange entre les années 60 et 80. Ce qui n’est pas pour me déplaire, le temps d’une semaine…

Étape 3 : Peyrehorade

Si le nom de cette ville est assez imprononçable, Peyrehorade est pourtant réputée pour son marché où l’on vend deux fois par semaine foies gras et magrets de canards. Dans les Landes, à deux pas du Pays Basque, c’est l’autre lieu de mes vacances depuis 35 ans. J’y ai appris à nager dans la piscine municipale – le maître nageur faisait partie de l’équipe de France de rugby -, le petit tour du côté de Biarritz et de Saint Jean de Luz était incontournable, et l’été se finissait par quelques jolies baignades dans le Gave. Souvenirs…

Étape 2 : Montalivet

Quand on parle de Montalivet, la plupart des gens pensent aux célèbres plages naturistes. Je précise tout de suite que ce n’est pas l’objet de nos vacances en famille. Ici, la tribu se réunit autour d’apéros, de sorties à la plage en vélo, de parties de pétanque et de balades dans les pins. Le ciel y est presque toujours bleu, l’eau toujours fraîche, les glaces évidemment délicieuses… Et le vent souffle fort pour pousser les cerf-volants tout là-haut !

Adieu, veau, vache, chatons

La première étape des vacances prend fin. Hier, je me suis levée aux aurores pour aider pépé et mémé dans leurs travaux de la ferme : nourrir les poulets, les poules, les vaches, arroser le très vaste jardin… Le petit déjeuner, fait de lard et de saucisson, sur le fond sonore du vieux poste de radio, était semblable à mes souvenirs d’enfant. Jamais je n’oublierai, je crois, ces images de mes grands parents avec leurs animaux. C’est un dur métier que celui de paysan mais certains moments, suspendus dans le temps, sont magiques. Tel ce lever de soleil sur le déjeuner des vaches…

Butin #Emmaüs

Emmaüs, cette fois encore, était tel une chasse aux trésors. Assiettes (trop ?) rétro, livres reliés, colliers hippies… je suis repartie les bras chargés d’objets certainement pas indispensables mais nécessaires au bon déroulement des vacances ! Le goûter qui a suivi, chez ma grand-tante Marie-Aimée, a complété mon sac avec des coupons de tissu en tous genres. Y’a plus qu’à, pour la Belette…

Étape 1 : le Crozet

Quand on parle de Bresse, (presque) personne ne sait où c’est. Quand on évoque les poulets de Bresse, déjà, ça parle aux papilles des gourmets. Au nord de Lyon, dans la verte campagne, le Crozet fait partie de ces hameaux tranquille où l’air sent toujours bon, où les journées sont rythmées par les travaux des champs et les soins donnés aux veaux, vaches, poules, chats et chien. J’ai connu la ferme avec des petits cochons, qui étaient mes compagnons de jeux, et des lapins, que je n’arrivais jamais à caresser… Je m’occupais des poussins que je n’imaginais jamais grandir pour devenir poulets… de Bresse.