« L’organiseur » de table à langer

DSC05587 DSC05588 DSC05589 DSC05590

C’est une commande que m’a passée Miss Hélène pour son (très futur) baby : un organiseur de table à langer. C’est le panneau à pochettes dans lequel on glisse coton, crème, petits ciseaux, bref, toutes petites choses indispensables au moment du change. J’espère que cette réalisation sur-mesure sera du goût de la maman.

Pochette en goguette

Belette_PochetteBiches_01 Belette_PochetteBiches_02 Belette_PochetteBiches_03 Belette_PochetteBiches_05

La pochette Biches en situation, dans un paysage blanc ou sur une étagère vintage, c’est le plus chouette des clins d’oeil qu’on puisse me faire. Merci à Miss Cha et à Nils pour ces photos. Et n’hésitez pas à partager vos moments Belette avec moi : c’est agréable de voir que mes bricoles vivent leur vie, en quittant ma machine.

Bresse et neige, donc

DSC05551 DSC05558

C’était une escapade en Bresse. De la campagne, bien verte, nous sommes allés à la montagne, bien blanche. Balades, ski de fond, raquettes et luge ont été au programme (sportif) de ce long week-end, la forêt était magnifique, le vent froid et le feu de cheminée salvateur, en rentrant. Escapade brève mais revigorante. Nous voilà prêts à repartir d’un bon pied !

La Pochette canevas

DSC05500DSC05501

DSC05503

DSC05508

Après le délire robe et jupe, il me restait une bande assez large de mon grand canevas. C’était précisément ce qu’il me fallait pour coudre une pochette grand format, pour les 30 ans de Miss Cha. J’ai ajouté une doublure en Liberty dans les mêmes tons et laissé la bordure brute du canevas, imprimée « Les Biches ». « Où sont-elles ? », m’a demandé Aïnhoa. Sur le plastron de ma robe, il est vrai. Ce canevas aura fait de l’usage, comme dirait ma grand-mère. Heureusement, les vacances sont là et il y aura sûrement un petit Emmaüs à caler dans notre périple en Bresse.

La Réserve des arts

DSC05473DSC05475

Depuis le temps qu’on en parlait, de cette Réserve. Motivée par Miss Stéphanie, nous sommes enfin allées jusqu’à Pantin, où se trouve cet endroit incroyable. Ce grand entrepôt, planqué dans une rue, pourtant peu prometteuse, recèle des trésors. « La Réserve des arts est une association qui récupère des rebuts et chutes de matériaux dans les entreprises, les valorise et les revend aux professionnels de la création. Elle répond à un triple objectif : réduire durablement les déchets, soutenir le secteur culturel et promouvoir le réemploi. » Au top, quoi. J’imagine que les stocks changent souvent, en fonction des périodes et des matériaux récupérés. Cette fois, nous avons été subjuguées par un lot de peaux de cuir colorées, à des tarifs défiant toute concurrence. Des coupons sont vendus au poids. On peut aisément se fabriquer une pochette ou un plastron de cuir pour moins d’un euro. Une condition, cependant, pour pouvoir acheter : faire partie du secteur culturel, en travaillant dans une institution, en étant artiste ou étudiant en art, par exemple. Une adhésion à l’année permet ensuite de faire partie de l’association et d’avoir accès aux stocks. Une démarche écologique, intelligente, source d’inspiration, comme je les aime !

 

La veste Torero

DSC05465

DSC05466 DSC05467 DSC05469 DSC05479

C’est un stock de petits canevas que m’a donné Miss Kentucky, suite à mon toc des derniers mois : la robe, la jupe, et même la veste. J’en ai donné aux copines et me suis demandée ce que j’allais faire du reste. Très jolis mais petits, colorés, ils vont souvent par deux. Ce devait être des petits exercices de canevas, à l’école (?). Et puis deux d’entre eux ont trouvé leur place sur ma veste bordeaux, dénichée dans un Emmaüs il y a quelques années. Je les ai cousus avec du fil de pêche, en guise d’épaulettes. Et je vais au bureau habillée en petit torero. Mon côté espagnol : Olé !

Week-end à Londres, jour 3

DSC05438
DSC05432 DSC05434 DSC05435 DSC05436 DSC05437
DSC05445 DSC05439 DSC05441 DSC05442
DSC05447 DSC05448 DSC05449 DSC05451 DSC05452 DSC05453 DSC05454 DSC05455 DSC05456 DSC05457 DSC05458

Après la pluie, le soleil, frais mais franc. Nous avons donc pu nous balader dans le Columbia Road Flower Market, ravissant marché aux fleurs du quartier. Petits commerçants seulement, fleurs en abondance et café à tous les coins de rue. J’ai acheté quelques bulbes de tulipes que je planterai dans notre jardin, souvenir qui nous rappellera dans quelques semaines ce délicieux week-end. Nous sommes tombés par hasard sur le Campania / S. Jones qui propose un petit déjeuner salé ou sucré à base de produits maison, pains généreux et jus de fruits frais. En repartant, le travail de Rebecca Louise Law, exposé dans un appartement-galerie, m’a tapé dans l’oeil ! Avant de reprendre l’Eurostar, et histoire d’avaler encore quelques kilomètres à pieds, nous sommes partis à la recherche de quelques fresques murales, aux quatre coins de Shoreditch. Londres était colorée, Londres était belle, Londres était bien barrée, comme on l’aime !

Week-end à Londres, jour 2

DSC05387
DSC05384
DSC05397 DSC05398 DSC05399
DSC05400 DSC05401 DSC05402 DSC05406 DSC05414 DSC05416 DSC05417 DSC05419 DSC05421 DSC05460 DSC05426

Après une bonne nuit de sommeil, le deuxième jour a débuté par un petit déjeuner chez Hurwundeki, où l’on peut se restaurer, se faire couper les cheveux ou tout simplement rêvasser dans une ambiance brocante-retro. Puis direction la Serpentine Gallery qui expose en ce moment les très grands formats de Michael Craig-Martin ; dans la Saatchi Gallery, nous avons pu voir un mur de casseroles pour le moins fascinant ! Londres étant connue pour sa food-fusion, nous déjeunons chez Rum Kitchen : ambiance colorée, plats épicés. En guise de dessert, un tour chez Liberty, toujours source d’inspiration et souvent de frustrations, je l’avoue. La Photographers’ Gallery nous remet les idées en place avec une exposition sur les soulèvements en Irlande en 1916. Je craque pour un autre cliché de Saul Leiter. Covent Garden, Soho, puis Shoreditch, nous essayons d’éviter les foules pour rentrer dans notre quartier. Cette fois, le Craft Cocktails nous propose un Hiesenberg et un Punch surprenants. Pour finir la journée, le veggie burger tombe à pic : il se mange avec les doigts au Just F.a.B., un « double-decker » rouge désaffecté. Dehors, il pleut à verses, c’est une soirée parfaite !

Week-end à Londres, jour 1

DSC05362 DSC05369
DSC05363 DSC05366 DSC05370 DSC05374 DSC05380 DSC05381

Par où commencer ? Parler de la nécessite de partir en week-end sans enfants, ou de l’envie, tous les ans, de découvrir de nouveaux recoins de Londres ? Un mix des deux, sans doute. Toujours est-il que nous avons déposé les kids à l’école, vendredi, et avons pris l’Eurostar (merci les grands-parents !) pour profiter, jusqu’au dimanche, de la vie londonienne. Nous avons arpenté les rues – 33 kms en à peine trois jours – et quelques bonnes adresses, que je vous livre en trois étapes.

Vendredi, après avoir déposé nos valises à l’hôtel RE, dans le très chouette quartier de Shoreditch, nous avons déambulé dans les ruelles à la recherches de street art. Entre deux fresques murales, une petite galerie étrange, dont je n’ai malheureusement pas le nom. Direction, ensuite, la Tate modern avec, en ce moment, l’exposition Calder. Nous en avons profité pour re-re-voir les collections permanentes avant de prendre le teatime à la cafétéria du musée : Coca à l’ancienne et scones&cream, une merveille ! Avant le dîner, à la Japanese canteen, nous avons pris un verre chez CraftCocktailCompany, à la playlist musicale tout droit sortie des années 90, dixit Mister O. Wonderful day one… To be continued.

La cape de bain

DSC05358

DSC05351 DSC05353 DSC05354 DSC05356

La cape de bain est un des premiers articles que j’ai réalisé et mis en vente, lorsque j’ai créé mon blog. Mes enfants étaient petits, Aïnhoa n’avait que quelques mois, et cela faisait partie des accessoires que l’on utilisait tous les jours. La cape de bain, c’est la serviette avec capuche que l’on utilise pour les bébés, à la sortie du bain. On leur met la capuche et on les enroule de la serviette. Pratique ! J’en ai cousu quelques unes mais depuis que je n’en utilise plus, j’avoue avoir laissé cet indispensable de côté. Heureusement, il y a les copines, qui font encore des bébés. C’est le cas de Miss Mélanie, que je n’ai pas vue depuis le lycée, et qui m’a demandé de lui en coudre une pour son très prochain bébé. Je l’ai fait avec plaisir. Il me restait un coupon de tissu San Francisco ; j’ai acheté, pour l’occasion, un tissu « nid d’abeille » en coton bio. C’est doux et c’est beau. On n’attend plus que le bébé. Come on !