Cloche à fromage, à gâteau, ou juste déco, elles deviennent rares en brocante quand elles sont grillagées. Je les cherche à chaque fois pour les broder, les offrir ou les garder. Rien de plus facile qu’un caneva classique, avec un peu de patience et de bon sens.
Catégorie : Sorties
La Madre
Elle m’a commandé un pull à tricoter, modèle stylé de We are knitters, qu’elle porte à merveille, comme elle le fait avec une frippe dénichée en brocante ou une jolie pièce griffée. Elle a décidé de laisser vivre ses cheveux après des années de coloration, elle est si belle en cheveux blancs. Elle est à l’écoute, se permet de conseiller, de tirer la sonnette d’alarme, parfois, elle aide, elle aime, de façon inconditionnelle. Elle inspire comme elle respire. C’est Elle, mi Madre… Joyeuse fête à elle et à toutes les autres <3
Brocante + Succulentes = <3
La saison des brocantes est arrivée, et je me régale à y dénicher des bricoles plus ou moins utiles. Cette série de miniatures en émail décorait la cuisine d’une femme à l’accent anglais adorable (et l’accent et la femme !). Le petit pot à lait était simplement indispensable. J’avais acheté quelques succulentes la semaine précédente. Le match entre les deux était parfait !
Au top !
Après tous ces tricots, j’avais besoin d’un peu de couture : c’est assez rapide et efficace, et en une demie-journée, on a un vêtement tout fait ! Juste avant Noël, j’avais acheté un numéro de Coudre, qui comportait tout un lot de patrons à décliner, d’inspiration japonaise actuelle. Il me restait ce coupon en lainage acheté 1 euro à la Ressourcerie, juste assez pour réaliser ce top-pull. Le mix and match était parfait ! Seul changement par rapport au patron, j’ai laissé tomber les boutonnières, car l’épaisseur de la laine allait abîmer ma vieille machine. J’ai donc cousu deux grosses pressions cachées par deux boutons anciens. Rapide et efficace, donc. Et joli ^^
…2019…
Aller tranquillement sur la route de la vie, avec confiance et sérénité, en vivant pleinement les moments présents, entourés de ceux qui nous entourent ; boire des bulles et faire des gâteaux ; la vie, en somme.
! BELLE ANNÉE !
(Et il n’est pas trop tard pour aller voir le travail de Grayson Perry à la Monnaie de Paris <3 )
La yourte dans la montagne : escale 2/2
Il a fallu monter, tourner, chercher encore pour finalement trouver la yourte, au sommet de la montagne, parmi les châtaigniers. Elle était aussi belle que je l’avais imaginée, le paysage en guise de vue, devant, en bonus absolu. Stéphanie, qui propose des Habitats insolites, nous a accueillis avec douceur et bienveillance autour d’un sirop de framboise/sureau/fraise des bois avant de nous laisser prendre nos aises dans cette grande chambre ronde et commune à tous les membres de la famille pour la nuit. Il y faisait tellement bon que nous y sommes restés jusqu’à l’heure du dîner. Thierry nous avait préparé un repas bio et végétarien, en grande partie avec les légumes de leur jardin : verrine de betteraves, salades aux graines et fleurs, courge butternut farcie de légumes et de riz cuits dans du lait de coco pour les parents / omelette aux herbes et frites pour les enfants // moelleux au chocolat et crème de châtaignes pour tous. Excellent ! Après avoir guetté les étoiles filantes, nous avons pu gagner nos lits, et malgré l’orage, nous sommes restés secs ! Avant de retourner à table pour un petit-déjeuner faits de produits frais et préparés maison. Nous serions bien restés plus longtemps pour découvrir le coin : certaines randonnées mènent à des cascades sauvages…
Les vacances : étape 2/3
Le peu de photo atteste du lâcher prise de la semaine : plage, glaces et quelques balades dans le joli Pays catalan, le programme n’était pas plus compliqué. Nous sommes revenus avec plaisir nous promener à Collioure, grimper jusqu’au fort Saint Elme, visiter le Château de Salses sans oublier le Palais des Rois de Majorque, à Perpignan. Un soir, les sardanes dansées dans le petit centre de Saint Laurent de la Salanque ont fini de me donner envie, vite, d’y retourner. Il y a encore quelques randonnées à faire dans le pays vallonné.
La cabane dans les arbres : escale 1/2
Entre le Pays basque et le Pays catalan, nous avons fait escale aux alentours de Carcassonne. J’ai trouvé assez facilement ce que j’avais en tête depuis longtemps : une cabane dans les arbres pour y dormir, le temps d’une nuit. Une nuit hors du temps, hors des sentiers battus. C’est donc aux Fumades que nous nous sommes rendus, par une chaude après-midi. La route devenait de plus en plus inaccessible, faisant place à des chemins perdus et étroits, au sommet d’une montagne surplombant Fournes-Cabardès : c’était bon signe ! Là, Valérie nous a accueillis et nous a menés dans cette cabane perdue au milieu d’une forêt de cèdres de l’Atlas. A 4 mètres du sol, une véritable maison de poupée : des lits, une petite table, un coin lavabo-Wc mais sans eau (!). Sur la terrasse, des chaises longues pour écouter le calme absolu, le vent dans les arbres et regarder les étoiles. Au petit matin, un panier « petit-déjeuner » bien garni nous attendait, suspendu à une poulie. Nous avons attendu la dernière minute de la location pour repartir. Quelle expérience inoubliable !
Les vacances : étape 1/3
Les vacances, elles devenaient nécessaires : stress, irritabilité, cernes… je n’ai pas fait une énième cure de magnésium, mais ma valise ! Et la première étape était parfaite pour commencer : le Pays Basque. C’est le Pays de mes origines, de ma mère, de mes grands-parents, et j’y suis très attachée quand bien même je ne le connais pas assez. Depuis la disparition de mes grands-parents, ma mère loue chaque année une grande maison dans un village différent, et c’est là que toute la famille se retrouve. Doublement ressourçant. Cette année, destination Saint-Pée-sur-Nivelle. Proche de tous les endroits dans lesquels nous aimons revenir : Saint-Jean-de-Luz, Aïnhoa et Sara, Peyrehorade, l’Espagne. Au programme : randonnées, balades dans les villages à la recherche du meilleur gâteau basque, pintxos et cidre, parties de pala sur le fronton, juste à côté. Les cernes se sont déjà bien estompées, en une petite semaine à peine. Alors on poursuit plus à l’Est !
Réfection de sièges vintages
L’objet du délit : un petit garçon qui s’assoit en position de fakir, quel que soit le siège qu’on lui présente. L’assise, cette fois, n’a pas résisté : le Skaï a éclaté (et je n’ai même pas crié ^^). Bref, il fallait réparer au plus vite ce joli siège vintage. Cela me semblait insurmontable, car je manie les ciseaux et les aiguilles sans (trop de) problème mais je n’ai pas mon diplôme en réfection de sièges. C’était sans compter sur l’alignement des planètes et des bonnes volontés. Grâce à Miss Célia, j’ai pu acheter au prix d’usine un grand coupon de faux cuir absolument parfait ; Miss Véro m’a prêté son agrafeuse supersonique ; Mister O. et Pouchy ont patiemment défait les 500 agrafes qui maintenaient les deux galettes de Skaï… et j’ai joué à l’apprentie tapissière ! Tchac Tchac Tchac ! Pour ne pas dépareiller la paire de fauteuils, nous avons évidemment refait les deux, même celui qui était (pour le moment) intact. Et puis je poste ici parce que je suis fière de ce travail d’équipe et du résultat, assez valorisant (et trop confortable) !