Quand le nombre de fêtes est proportionnel au nombre d’enfants…

La fin d’année se vit toujours à bout de souffle : fête de l’école, fête du basket, fêtes avec les copains. Les semaines se suivent à un rythme effréné, et les soirées sont dédiées à la confection de gâteaux, de piques-niques ou de petits cadeaux. Autant vous dire que les travaux en couture sont rares et ceux qui ont été réalisés attendent patiemment leur photo sur le bureau. A venir, donc, des rubans fleuris à nouer dans les cheveux. Et dans les jours qui suivent, un concours pour gagner une parure Dim et des lunettes de soleil ! Y’a plus qu’à…

Légende photo : travaux des enfants d’après la tasse de Meret Oppenheim.

La marchande de papiers

« Quand j’étais enfant, je m’imaginais marchande de papiers ; plus tard, je suis devenue architecte… Mais un jour, mon rêve m’a rattrapé et j’ai commencé à réaliser des petits papiers à envoyer : mon premier faire-part était né. Le bouche à oreille a ensuite œuvré tout seul et j’ai alors réalisé que je tenais là un vrai bonheur : celui de devenir «faiseuse de faire-part» (c’est ce que mettent mes enfants sur leurs petites fiches de la rentrée) »
Stéphanie a encore les paillettes de l’enfance dans les yeux quand elle vous accueille dans son adorable atelier pour vous présenter ses fairepart. Papiers, coloris, textures, pliages et découpes sont tous proposés sur-mesure, avec délicatesse et bon goût. On vient d’abord par hasard, attiré par la jolie devanture, pour annoncer un mariage, puis c’est la venue d’un enfant, un baptême, une fête… qui nous donne envie de revenir sur nos pas.
On se prend à rêver que cette architecte construise un jour une maison de carton ou de papier, elle serait douce, épurée et lumineuse.
Quant à la marchande de papier, il me semble que son rêve s’est finalement réalisé… Aujourd’hui, c’est un coup de cœur pour mon amie que j’ai envie de partager avec vous.

Fin d’année… Au revoir, Maîtresse !

C’est la fin de l’année et presque le début des vacances. Les maîtresses vont enfin souffler et les têtes blondes courir à la campagne, nager à la mer, sauter à la montagne… Pour clore l’année scolaire, les petits cadeaux font toujours plaisir. Broches, pochettes, petits légumes tricotés à piquer sur une veste les soirs d’été… Venez faire un tour dans la boutique de la Belette !

L’âge du capitaine ?

Il y a eu les bisous des enfants au petit déjeuner, le pique nique dans l’herbe ensuite, le chou à la crème offert pour le goûter puis la traditionnelle tarte aux fraises ce soir. Il y a eu d’adorables textos, de belles cartes, de gentils mots, de superbes cadeaux. Il n’y a que la photo qui, décidément, ne parvient pas à illustrer cette magnifique journée… J’ai soufflé huit bougies : quel est l’âge de la Belette ?!

BeautyBox pour BeautyBelette

Je n’ai pas cru si bien dire lundi, quand j’ai pesté contre ce temps d’hiver ! Parce que dans ma boîte aux lettres, j’ai découvert un petit carton, dans lequel il y avait une jolie boîte, dans laquelle il y avait des produits de beauté et même une petite bouteille de champagne. Un genre de Noël en mai qui a vraiment égayé ma journée ! Offerte aux 800 meilleures clientes, puis tirées au sort, j’imagine, ce paquet a fait mentir la loi de Murphy selon laquelle je ne gagne jamais rien. Excellents produits, joli vernis à ongles – pour le champagne, j’attends sagement le 5 juin -, j’ai joué à l’institut de beauté toute la soirée… La bonne nouvelle pour vous, Mesdemoiselles-Mesdames, c’est que 50 boîtes sont à gagner sur la page Facebook de Monoprix jusqu’au 24 mai. Et soyez certaines que la loi de Murphy peut faire des exceptions pour vous aussi !

Quelques jours à la campagne…

On ramasse les œufs dans les bottes de foin, on caresse Loulou le chien, on rit devant les chatons encore patauds et on admire le veau qui gambade à peine né, on fait des goûters gastronomiques chez mémé, on plante les géraniums et on arrose les fraises au jardin… On joue à cache-cache dans la grange, on a parfois le droit de monter sur le tracteur de pépé, on respire à plein nez l’herbe fraîche coupée. Bonheur et insouciance de trois petites têtes blondes. Ça me rappelle trois enfants il y a trente ans…

Vive la mariée !

On « n’enterre » pas une vie de jeune fille : on la fête (et dignement, dans la mesure du possible) parce que chaque étape de la vie mérite qu’on s’y attache pleinement puis qu’on la quitte doucement. Il y a tant d’autres moments à vivre ensuite…
Ces deux jours passés au bord de la mer avec les copines de 30 ans ou rencontrées il y a juste 2 ou 3 ans seront eux-aussi des souvenirs que jamais nous n’oublierons. Il est loin le temps où nous jouions à être « mamans-mariées-avec un métier » parce que, franchement, ça nous faisait vraiment rêver. Nous y voilà, cette fois, pour de vrai. Mais le plus chouette, 30 ans après, c’est qu’on continue à faire du vélo sur lesquels on accroche des ballons, à manger des tonnes de bonbons et à danser comme des folles en hurlant. Que nous réserve l’avenir ? Une chose est sûre : il y aura toujours les copines pour nous aider à le construire…

Mais où est donc le joli mois de mai ?!


Le muguet n’a pas eu le temps de fleurir, dans le jardin ; ce sera donc des myosotis pour fêter le 1er mai. Je crois qu’il est de coutume de souhaiter chance et bonheur, ce que je vous souhaite de tout cœur… Commençons par réclamer un peu de soleil. Le muguet, passe encore, mais il est hors de question que les cerises restent à l’état de bourgeons !

Ballons

C’est mercredi. Le soleil brille enfin, les enfants crient et jouent dans le parc Montsouris, les ados hurlent de joie en faisant des batailles d’eau, on pique-nique les pieds dans l’herbe, éblouies par tant de lumière. Et là, dans le cèdre immense et magnifique, on aperçoit une cargaison de ballons joufflus et brillants, coincée entre deux grosses branches. Déception des enfants, j’imagine. Bonheur et surprise des oiseaux, sûrement. Et le vendeur ambulant ?