L’avantage, avec les Minus, c’est qu’on peut leur faire un super cadeau avec trois fois rien : deux pelotes de belle laine, un peu de temps et un livre cartonné. Un gros bonnet – modèle Peace and Wool – et un grand classique – « Noir sur blanc », de la géniale Tana Hoban, qui joue sur les contrastes pour l’oeil du tout petit – c’est le combo idéal inside-out pour Léonard, le dernier des petits neveux.
Catégorie : Livres
Lectures de l’été
Avec la pluie qu’il tombe aujourd’hui, les lectures d’été pourraient faire l’objet de lectures d’hiver au coin du feu, avec un thé… J’avais choisi et emmené quelques romans, en Grèce, avec lesquels je me suis régalée. Le dernier Fred Vargas, tout d’abord, acheté à sa sortie, en mars, et courageusement mis de côté jusqu’à ces vacances d’été. Pour ceux qui connaissent, c’est un réel plaisir de retrouver, à chaque fois, les personnages de cette série de polars : Adamsberg, Danglard, Retancourt, pour ne citer qu’eux, plongent dans une aventure mêlant Robespierre, l’Islande et un sanglier. Des Temps glaciaires époustouflants ! Dans un autre genre, L’Équilibre du monde de Rohinton Mistry raconte les vies et parcours croisés de personnages dans l’Inde des années 1950 aux années 80. Dur, parfois, touchant et prenant de la première à la dernière page. Les nouvelles de Richard Yates, Menteurs amoureux, étaient parfaites pour repartir sur une note plus légère. Instants de vie, moments de couples, questions amoureuses, bref, un livre d’été. Et pour finir avec du policier, mais dans un autre genre, les nouvelles d’Arsène Lupin m’ont fait découvrir la plume de Maurice Blanc. Des énigmes à n’en plus finir pour ne pas trop penser au retour sur Paris… Et vous, que lisez-vous ?
Nuage musical
Des livres plein les valises
La Hulotte
Le livre de couture de la Belette
Trousse sans trou
Polly in my pocket
Une fois n’est pas coutume, j’ai envie ce samedi de vous faire découvrir ce livre ravissant, emprunté par hasard à la médiathèque, ce matin, au rayon « Enfants ». Couverture désuète, tout petit format, couleurs un peu délavées… bref, j’ai été intriguée et n’ai pas été déçue une fois rentrée. Il s’agit des rêves et cauchemars de Polly, petite fille des années 1900. Elle a, en apparence, l’air des jeunes filles de bonne famille qui cousent, tricotent et jouent sagement avec le chat. Mais Polly est encore plus que ça. Son esprit s’échappe, ses gestes dérapent, elle est craquante. J’avoue que j’ai adoré, encore et surtout, ses robes à pois, les rideaux à fleurs et le mobilier d’époque. Vraiment, un agréable choc !