Cloche à fromage, à gâteau, ou juste déco, elles deviennent rares en brocante quand elles sont grillagées. Je les cherche à chaque fois pour les broder, les offrir ou les garder. Rien de plus facile qu’un caneva classique, avec un peu de patience et de bon sens.
Catégorie : Déco
Léonard #1er mai 2019
Léonard est né le 1er mai ! Quelle plus belle date que ce jour placé sous le signe de la Fête du travail et du muguet ! Pourtant, j’avais prévu autre chose pour mon petit neveu : une couverture en coton bio dénichée dans les soldes de fin d’année de Peace and Wool, qui lui sera sans doute utile en ces jours frais du mois de mai. Les broches brodées qui brillent, c’est en bonus, histoire de le faire rêver les quelques prochaines années. Bienvenue, Léonard. And Love <3
Brocante + Succulentes = <3
La saison des brocantes est arrivée, et je me régale à y dénicher des bricoles plus ou moins utiles. Cette série de miniatures en émail décorait la cuisine d’une femme à l’accent anglais adorable (et l’accent et la femme !). Le petit pot à lait était simplement indispensable. J’avais acheté quelques succulentes la semaine précédente. Le match entre les deux était parfait !
Une autre technique du kintsugi
Laurette, que je vous ai déjà présentée, avait dans son four de jolies assiettes mais… brisées. Gentiment, elle m’en a données quelques-unes. J’avais bien dernière la tête cette technique japonaise – le Kintsugi – qui permet de réparer les objets en mettant en valeur la faille, le bris, l’aspect cassé. J’ai cherché des kits, malheureusement, c’est assez cher ; c’est en effet un mélange de colle et de poussière d’or, d’où l’effet « Whouaou ! » il faut bien l’avouer. Et puis en fouillant encore, je tombe sur cette pâte Sugru qui me semble magique : elle colle, répare, peut être modelée comme souhaité et devenir solide. Je teste, donc. Et j’obtiens cet effet Kintsugi coloré. Que j’adore ! Ça me donne même envie de casser les trucs un peu moches qu’on n’ose pas jeter !
Les bols de Laurette Broll
J’ai découvert le travail de la céramiste Laurette Broll en allant travailler. Son atelier/boutique étant situé sur le site des fabuleux Grands Voisins, je passais régulièrement devant sans jamais vraiment oser entrer. Et puis Noël est arrivé et j’ai trouvé le prétexte idéal pour la contacter (et lui faire ouvrir sa petite boutique hors créneaux du WE). Laurette façonne des bols, des coupelles, des assiettes mais aussi des théières, des vases – et même des urnes funéraires ! – d’une finesse incroyable, aux couleurs uniques. J’ai craqué sur des assortiments bol/coupelle en jouant avec les couleurs et les tailles. Ces cadeaux, emballés dans mes baluchons japonais, sont des pièces uniques, fait main, et ont été appréciés à leur juste valeur, je l’espère. Et j’ai regretté d’avoir tout offert…
Broder des souvenirs
Il est des personnes auxquelles il est assez facile de faire plaisir. Ma mère, par exemple. Un rouge à lèvres, une paire de boucles d’oreilles, un vêtement « fait main », ou pas. Oui mais voilà, il est des cadeaux qui font encore plus plaisir. Et le souvenir en est un. J’avais donc cette photographie du jardin de mon Amachi (« grand-mère » en basque). Nous y avons vécu tant de bons moments, au milieu du linge qui sèche, du cabanon des poules et des plants de tomates. Et puis, quand nous étions petits, deux soeurs, brodeuses de métier, s’installaient toute l’après-midi sous le grand figuier pour travailler linge de maison et mouchoirs de coton. Yvonne et Madeleine vivaient dans la même maison, en face de la maison familiale. Et se déplaçaient ensemble, toujours. Et brodaient, encore et inlassablement. Elles prenaient aussi et surtout le temps de nous l’enseigner, à nous, petits enfants de passage, en vacances… Et ces après-midis font partie des meilleurs souvenirs de l’enfance. Alors le jardin d’Amachi brodé… Il vaut des points.
Le tissage Nuage
J’ai parfois l’envie de « faire quelque chose » sans que cela ne soit vraiment nécessaire. C’est peut-être le comble du luxe, finalement, d’avoir ce temps. Toujours est-il que Miss Gina m’ayant donné un immense sac de laines l’autre soir, l’envie m’a prise, ce week-end, d’en faire quelque chose. Mais quoi ? Et bien un tissage. Ça me fait toujours envie, mais je ne maîtrise pas encore bien le sujet. J’avais pourtant craqué sur ce petit métier à tisser à la Manufacture de Roubaix. Fait un essai et laissé le truc de côté. On s’est amusées, avec ma fillette, moi à modeler ce nuage et elle à faire des pompons. Il trône dans un coin du séjour. Il prendra la poussière, sans doute. Bref, rien ne servira à rien. Et c’est ça qui est bien !
Tendres univers
Passion globes, verres, terrarium, livres, objets glanés ici et là, cailloux coeurs, souvenirs… des bricoles, en somme, qui font ces petits univers si réconfortants et dans lesquels l’esprit s’évade.
Et vous, à quoi ressemblent vos univers ?
Réfection de sièges vintages
L’objet du délit : un petit garçon qui s’assoit en position de fakir, quel que soit le siège qu’on lui présente. L’assise, cette fois, n’a pas résisté : le Skaï a éclaté (et je n’ai même pas crié ^^). Bref, il fallait réparer au plus vite ce joli siège vintage. Cela me semblait insurmontable, car je manie les ciseaux et les aiguilles sans (trop de) problème mais je n’ai pas mon diplôme en réfection de sièges. C’était sans compter sur l’alignement des planètes et des bonnes volontés. Grâce à Miss Célia, j’ai pu acheter au prix d’usine un grand coupon de faux cuir absolument parfait ; Miss Véro m’a prêté son agrafeuse supersonique ; Mister O. et Pouchy ont patiemment défait les 500 agrafes qui maintenaient les deux galettes de Skaï… et j’ai joué à l’apprentie tapissière ! Tchac Tchac Tchac ! Pour ne pas dépareiller la paire de fauteuils, nous avons évidemment refait les deux, même celui qui était (pour le moment) intact. Et puis je poste ici parce que je suis fière de ce travail d’équipe et du résultat, assez valorisant (et trop confortable) !
L’agenda de rentrée
Septembre est presque terminé et je n’ai pas encore eu le temps de poster mon traditionnel petit agenda de rentrée. Il faut dire que j’utilise (malheureusement) de plus en plus mon agenda électronique pour caler rendez-vous professionnels et obligations ou événements familiaux ; ce sont alors des calendriers partagés à tous coins du téléphone et on s’y perd, de peur de perdre quelque chose… J’aime tout de même utiliser un agenda papier pour rentrer les choses à venir et celles qui sont passées. J’y note aussi les anniversaires, ceux que Facebook ne me livrera pas. Et j’adore feuilleter les agendas des années passées : j’y retrouve des souvenirs en pagaille.
Cette année, j’ai opté pour le tampon de Sardon, qu’on aimerait aussi tamponner sur des tee-shirts et des murs entiers. Des copeaux d’or Pébéo ont fini le boulot. C’était plus radical, cette année, la déco 😉