DIY : le sweat épaulettes

La théorie, d’abord. C’est une idée qui me trotte dans la tête depuis quelques temps, déjà, et que j’ai eu du mal à réaliser. L’idée de départ consistait en la réhabilitation de l’épaulette, celle qui a fait la gloire des années 80 et que l’on ne trouve plus vraiment, de nos jours, sur les vêtements. Ou alors, elles sont toutes fines. Quasi inexistantes. J’avais envie, justement, de les mettre en valeur en les faisant passer du dessous au dessus du vêtement. 
La pratique, ensuite. Allez hop, l’explication-réalisation ! 
Au départ, on prend un sweat basique. Celui-ci, acheté chez H&M, coûte « trois francs six sous » (expression de ma marraine que j’adore). Pas de motif, sinon ça jure par la suite.
On achète ensuite une paire d’épaulettes, encore trois fois moins chère, dans une mercerie, au Marché Saint-Pierre. En fonction de l’épaisseur des épaulettes, le rendu ne sera pas tout à fait le même : plus dodu ou moins affirmé, à vous de voir. Et on choisit un joli tissu, pas trop fin.

On coupe le tissu au format des épaulettes et on les recouvre sur la face bombée. Quelques épingles pour maintenir le tissu, puis on surfile, et ensuite on coud à la machine, tout autour.

Pour finir, on coud un morceau de biais assorti sur le côté plat de l’épaulette.

On customise comme on le sent : paillettes, sequins, perles…
Tout est permis !

On coud ensuite l’épaulette, à la main, sur une des épaules. Il faut enfiler le sweat pour bien positionner l’épaulette avant de décider de l’endroit précis où l’on veut la mettre. Le côté plat est du côté du cou. Un point de feston sera parfait pour cette couture à la main.

Et voilà le travail : un sweat basique qui devient original et unique ! 
A vos épaulettes, prêt, partez !

Pochettes en Toile de Jouy

Aujourd’hui, on fait un bond dans le temps et on se balade dans les champs, dans de belles robes, on pêche, on roule en calèche, on devient le sujet de ces adorables motifs en Toile de Jouy. Ces pochettes ont eu beaucoup de succès et ont été vendues dimanche mais j’en prépare déjà de nouvelles ; disponibles, donc, en boutique !

Snoods, les cols en laine très doux

Avec le retour du froid, on enfile son très gros col en très grosse laine qui est le plus moelleux des doudous pour affronter cette chute subite de température. Il m’en reste quelques-uns en boutique ; je tricote les autres dans la couleur de votre choix en un temps record, alors n’hésitez pas à passer commande !

Cols Claudine

Les cols Claudine ont un petit côté désuet que j’affectionne particulièrement. On hésite parfois à en porter ; ils sont au contraire faciles à accommoder : sur un pull fin en automne-hiver, sur un tee-shirt en été, ou à même la peau, sur un débardeur, quand il fait plus chaud, bref, c’est un accessoire qui égaie n’importe quelle tenue et lui donne un coup de peps et d’originalité. Les derniers cols sont en boutique ; qui tente le coup ?

Bandeaux fleuris pour fillettes colorées

Ce n’est sûrement pas cette grisaille qui va nous faire perdre le goût des fleurs et de la couleur ! Miss Aïnhoa s’est gentiment transformée en petite Babouchka le temps de pauses photo pour mettre en valeur ces bandeaux cousus de fleurs de soie ou de coton vintage. Elastiques, ils s’enfilent vite, le matin, et retiennent les cheveux blonds de la Belle. De quoi égayer la cour de récré !

Calendrier de l’avent, guirlande de fête

Hier matin, avant de commencer ma journée de travail, j’avais rendez-vous chez Bobines et Combines, un lieu peuplé de machines à coudre, de tissus et de ciseaux, dans lequel enfants, ados, adultes, débutants ou confirmés, se retrouvent autour d’ateliers de couture. Le rêve, non ?
Ce matin, c’était un peu particulier. Caroline nous y avait conviées, deux autres blogueuses et moi-même, pour relever un défi : concevoir et créer, en deux heures, un calendrier de l’avent en tissu. En imaginant un patron et une méthode qui seraient adaptés à des débutants. Et bien deux heures, ce n’est pas long !
Nous avions pour cela le choix entre quelques coupons de tissus offerts par Mondial tissus, de la mercerie, des ciseaux et des machines Singer à toutes les tables.
Après quelques minutes de réflexion, un peu d’inspiration, un café et un petit pain au raisin, l’idée m’est enfin venue. J’avoue ne pas être fan des calendriers de l’avent, que je trouve souvent kitsch (et vous savez pourtant à quel point je peux aimer le kitsch !). J’avais envie d’un objet déco assez joli, à réutiliser, peut-être, le reste de l’année… 
D’où le principe de la guirlande de fanions. Festive, noire, argentée et dorée, je l’imaginais composée de 4 ou 5 petites guirlandes à suspendre ou à épingler sur le mur, d’abord remplies de petites surprises, puis faisant juste office de décoration. J’ai donc découpé puis assemblé des triangles de tissus, des petits et des plus grands. J’ai craqué pour la fausse peau d’animal en vinyle dorée/argentée pour les grands fanions, et utilisé du tissu blanc à étoiles doublé de noir pour les plus petits.
Le travail de découpe et d’assemblage est un peu long (« malheureusement », il faut 24 ou 25 pochettes !), mais on y arrive (presque) dans les temps quand on a le gabarit à portée de main. Pour finir, on coud les pochettes, joliment réparties, sur des bandes de biais. Attention, on coud juste un côté de la pochette, celui de la doublure ; l’endroit, quant à lui, a été légèrement raccourci et surjeté afin de créer une pochette dans laquelle on peut glisser un chocolat.
Et voilà ! Une guirlande chic qui sera aussi parfaite pour les anniversaires ou tout autre fête. Et accrochées au rebords d’une tablée, ce sera sûrement du plus bel effet !
Et vous, à quoi ressemble votre calendrier ?

Girly, les pochettes de petites

La deuxième série est donc, comme annoncée, plus « Girly ». Les imprimés m’ont fait penser à ma fille et ses envies de fraises, de fleurs et de couleurs gaies. Ce sont des petites pochettes dans lesquelles elle rangerait ses perles, ses barrettes, ses petits lapins et tous ses petits trésors de petite fille…
Pochettes en boutique !

Mummy, les pochettes de grandes

L’idée est venue en triant mes coupons de tissus. J’en avais des très retro, et des plus enfantins. L’envie de décliner une série de pochettes mère-fille est devenue le fil conducteur de cette toute petite série limitée.
Commençons par les « Mummy », donc. La première série de pochettes est réalisée avec des coupons de toile de coton épais, aux motifs floraux vintage évidemment. Les teintes automnales sont de mise. On y rangera cartes diverses, tickets de métro ou carte de transport, maquillage raccord, boîte de pastilles à la menthe et que sais-je encore… Elles sont déjà en boutique !

 

Quant au film Mommy, de Xavier Dolan, c’est une perle…

Custom’ ton téléphone !

Un petit DIY du soir, histoire de se coucher en se disant qu’on a fait quelque chose pour soi. Malheureusement, la lumière du soir dans mon bureau ne rend pas vraiment hommage à ce petit bricolage. Promis, en vrai, c’est très chouette à voir !
J’aime bien customiser ma coque de téléphone portable, faire en sorte qu’elle sorte un peu de celles que l’on trouve sur le marché.
Pour cela, rien de plus simple ! Quelques achats chez Hema : une coque transparente et quelques autocollants rétro. Et une feuille de papier origami.
On trace le contour de son téléphone sur l’envers de la feuille de papier, que l’on coupe ensuite très légèrement plus court. On réajuste par la suite pour que la feuille rentre dans la coque sans forcer mais sans glisser non plus.
On colle un autocollant sur l’endroit. A l’endroit qui nous plait.
Et on glisse la feuille découpée et ainsi décorée dans la coque. On y enfile son appareil, et on a pour quelques temps le plus unique des téléphones. A renouveler avec papiers et autocollants à l’infini, évidemment.