N’ayons pas peur des mots, je dédicace cette fois cette jolie parure – que je garde quand même pour moi ! – à une belle rencontre. Les deux jolis petits canards en terre (?) peinte offerts à mon départ ont finalement été séparés. L’un se retrouve aujourd’hui sur un grand collier fait de breloques diverses : branche de cerisier, feuilles et grelot en métal cuivré, perles de verre colorées. Pour compléter, j’ai bricolé des boucles d’oreilles à partir de boutons en tissu que j’avais réalisés il y a un moment déjà. Clin d’oeil à cette très chère Elisabeth, que j’imagine sûrement retrouver aux détours de chemins croisés…