La mariée était en blanc, assurément, mais portait un bouquet doré assez surprenant ; le marié était en noir, évidemment, mais avec noeud pap’ et chaussures de dandy (il était temps). La cérémonie eut lieu en Italie, au pied d’une étrange cheminée recouverte de bougies. Elle cria « Je t’aime », il répondit « moi non plus », ils enfilèrent deux bagues dorées, un gros croissant et un pain frais. L’émouvant Ave Maria au piano fut suivi du chant envahissant de la cornemuse, le riz vola sur les mariés… et voilà un deuxième mariage aussi étonnant que réussi ! Merci Ramsà, merci François-Marie. Encore une belle lubie qui nous lie pour la vie…