Je ramène dans mes bagages des trésors de tous âges : un tout petit sac pour Aïnhoa et une chemise rétro chinés aux puces de Barcelone, des boucles d’oreilles en canettes de fil, du biais et du ruban dégotés dans la vieille mercerie de Saint-Laurent, un manteau de l’arrière-grand-mère et une veste en velours de la tantine. Je ne compte pas les pots de confiture, plaquettes de Valor et boîtes d’olives aux anchois… Je suis riche !